Espérance.
Entre la détresse et le bonheur s'ouvre une profonde crevasse.
L'espérance y jette un pont ;
Mais il est suspendu dans le vide
Heinrich Leuthold.
L'espérance vit profondément en nous. Elle est comme une plante modeste qui peut durer longtemps sans air, sans soleil et sans eau. Mais il ne faut pas la surmener. Quand, dans les temps difficiles, nous cédons à une attitude négative & pessimiste, quand nous admettons que les coups du sort nous terrassent et quand nous sombrons dans la résignation & la dépression, nous tuons en nous la plante de l'espoir, nous nous abandonnons nous-mêmes.
La vie est soumise à des vicissitudes. Après un point bas, le chemin nous conduit de nouveau hors de la vallée des larmes.
Aucune vie n'est que tristesse, aucune vie n'est que bonheur.
Quand nous saisissons que les hauts et les bas indissolublement liés, nous nous renforçons en face des coups du sort. La roue du destin, qui apparaît souvent dans l'art médiéval, symbolise les vicissitudes du destin des hommes. Tout ce que nous rencontrons dans la vie finit par se compenser.
Considérer un malheur subi comme la condition de l'approfondissement de notre aptitude à éprouver le bonheur, c'est donner une chance à l'espoir, c'est pouvoir acquiescer à la vie même dans les moments difficiles.
L'espérance se présente sous la forme d'une plante, parfois d'un arbre. Celui-ci remplit le grand espace à l'intérieur de mon MOI. Ses branches poussent vigoureusement vers l'extérieur. Elles sont fortes & saines et déterminent ma vie. A son sommet, mon arbre touche le soleil. C'est là que mon espoir se réalise…
Je me fraie un chemin à travers tous les obstacles que m'oppose la vie, jusqu'à apercevoir enfin la confiance et l'espoir pour y puiser une force nouvelle…je me remplis de la force de l'espérance et, grâce à elle, je surmonte tous les obstacles.
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 10 autres membres